En avoir plein le dos ! C’est une expression connue et reconnue admettant qu’il est peut être temps de faire une pause ou lâcher prise avec tout ce trop plein qui encombre. Facile à dire. Encore est il souhaitable de trouver la solution pour retrouver un peu de sérénité et en finir avec cette douleur lancinante d’avoir trop porté ou adopté de mauvaises postures. Il s’agit donc de changer les habitudes pour reprendre soin de soi et saisir surtout l’importance d’un moment pour soi à l’aide d’un diagnostic par un professionnel pour un traitement efficace et durable des troubles de l’appareil neuro-musculo-squelettique.
L’information corporelle signalée par les douleurs de dos
Il ne fait plus aucun doute sur le fait que la localisation corporelle des douleurs et souffrances enregistrées sont une alerte signifiée par notre corps sur une information émotionnelle dont l’importance n’est pas à prendre à la légère selon le degrés aigu de persistance du symptôme. Depuis la parution de nombreux livres donc l’un des précurseurs est Michel Odoul « dis moi ou tu as mal » l’homme prend conscience à sa juste mesure du besoin exprimée par l’âme à travers le corps de manifester un langage que nous aurions tout intérêt à écouter pour en apprendre davantage sur nous-même et sur notre rapport aux autres. Que le symptôme soit physique après un effort soutenu ou psychique généré notamment par l’anxiété par exemple le mal de dos serait ainsi, pour la psychothérapeute, Emilie Soavi, un messager précieux à ne pas ignorer : « C’est un signal d’alarme qui nous signifie que là, nous avons dépassé nos limites »
Le mal de dos ainsi exprimé n’évoquerait pas seulement une part de soi mais aussi de notre rapport à l’autre. « La douleur exprime parfois ce qu’on ne peut lui dire autrement, explique le Docteur Soavi. Quelque chose de l’ordre de ‘Regarde comme je souffre voire « Regarde comme je souffre avec toi » Le non dit vient à se percevoir d’une manière ou d’une autre. Après avoir pensé en thermes d’émotions et reconnu une forme de mal être, il est indispensable de concevoir le droit d’aller mieux idéalement d’être soutenu par un professionnel de santé reconnu : le chiropracteur.
L’aide d’un chiropracteur pour s’accorder le droit d’aller mieux et retrouver un usage optimum du soutien lombaire
Plusieurs séances chez le chiropraticien pour en finir avec vos problèmes chroniques au dos permettront de remédier durablement aux problèmes rencontrés afin d’éviter notamment des séquelles fâcheuses à termes si le mal n’est pas pris en charge : un tassement, une inflammation atteignant des proportions irréversibles etc… L’action du chiropracteur est ciblée : il n’exerce de manipulations presque qu’au niveau de la colonne vertébrale en se concentrant sur la relation qui unit la colonne vertébrale au système nerveux. Ces manipulations sont minutieuses rigoureuses et très précises sur une zone restreinte. La chiropratique est principalement indiquée pour détecter des subluxations de la colonne vertébrale, corrigées par des pressions et des ajustements, elle est par ailleurs très efficace pour soulager certains troubles chroniques comme les vertiges, les bourdonnements d’oreilles, les troubles digestifs, gynécologiques ou urinaires car la pratique concerne également toute douleur persistante qui se manifesterait au niveau de la tête, du cou, des épaules. Un bon chiropracteur exerçant en clinique pourra même dispenser des soins de nature obstétrique ou pédiatriques et ce, afin que le plus grand nombre de patients puissent accéder aux soins adaptés et donc une meilleure qualité de vie en étant en bonne santé.
Explications sur le bon déroulement des séances
Idéalement une première consultation permet un entretien poussé pour les habitudes et pratiques ayant malmené le corps et les régions sollicités exprimant une souffrance. Ce premier contact assure une mise en confiance avec le médecin et cible les besoins et prenant le temps de faire le point et poser toute question utile en relation avec la démarche chiropratique. Ensuite, tous les aspects neurologiques, orthopédiques et posturaux seront abordés à l’aide d’examen pointu et affiné, agrémenté de radiographie si nécessaire. Ce n’est qu’a l’issue de la remise du bilan détaillé que pourra être envisagé le nombre de séances utiles, leur description, leur fréquence et durée afin d’établir un protocole d’entente pour une prise en charge efficace de la globalité de l’état de santé du patient.